Bien sûr, ils peuvent toujours la faire sauter, mais ils peuvent aussi la prendre en otage. À voir les réactions de la présidente de l’Unesco qui qualifie la probable destruction de Palmyre de « crime de guerre », ils pourraient s’amuser un peu à quelques tractations souterraines et de surface. S’ils ne l’ont pas détruite d’ici une semaine c’est que Palmyre est séquestrée à l’air libre…
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